La librarie lumi
(1) est utilisée pour créer des objets de type LumiBatch
, qui sont utilisables par d'autres libraries Bioconductor car ces objets sont des implémentations de l'interface ExpressionSet
. En plus de permettre la lecture intelligente des fichiers de sortie du logiciel BeadStudio d'illumina, lumi
comprends plusieurs routines de contrôle de la qualité très utiles pour déterminer la valeur d'une expérience.
lumi()
, il faut démarrer avec une session R:# Tres dur a faire... % R
infos_data.txt
, qui contiendra deux colonnes:AVG_Signal
. Par exemple: si l'en-tête de colonne s'appelle Sample01.AVG_Signal
, alors l'identificateur de l'échantillon est Sample01. Prenez note: la première cellule de cette première ligne doit avoir une étiquette unique, tel que sampleID
.Class
. R> setwd("/path/to/data/file")
lumi
:R> library(lumi)
LumiBatch
que nous appèlerons r.lumi
:R> r.lumi<-lumiR('fichier_de_donnees_des_probes.txt',sampleInfoFile='info_data.txt')
R> r.lumi
Summary of data information: Data File Information: # blablabla...
Nous pourrions maintenant vouloir sauvegarder la matrice de données:
R> write.exprs(r.lumi, file='processedData.txt')
Vous obtiendrez un fichier texte avec comme première colonne, le nuID
définit par lumi
et une colonne pour chaque échantillon contenu dans le fichier d'origine. Il y a cependant un hic: si vous regardez la façon de représenter un nuID
, ça ne ressemble pas à grand chose… Il faut faire un mapping entre les identificateurs nuID
et ceux plus conventionnels comme RefSeq et Entrez Gene:
R> nu<-featureNames(r.lumi) R> mapInfo<-getNuIDMappingInfo(nu,lib.mapping='lumiHumanIDMapping') R> write.table(mapInfo,file="./nuID2RefSeq.txt",quote=FALSE,sep="\t")
Il faudra fusionner les deux fichiers dans un tableur de votre choix pour obtenir les correspondances.